Marzo-Mars-Março-March 2021
À la grève
En dépit du contexte dans lequel nous vivons depuis un an à cause de la pandémie et de l’état d’urgence qui maintienne les militaires et un fort contingent de police dans les rues, nous nous associons à nouveau à l’appel à la grève générale féministe et à manifester depuis nos territoires, nos foyers et nos espaces publics.
Depuis le matin, des manifestations dans les rues ont commencé dans les différents territoires du pays, des barrages routiers, des rassemblements ont eu lieu simultanément tout au long de la journée et, bien que, en raison du contexte, la participation ait été plus faible que les années précédentes, rien qu’à Santiago, environ un demi-million de femmes sont descendues dans la rue. Une centaine de manifestations ont été recensées sur le reste du territoire national. Notre présence en tant que MMM-Chili s’est concentrée à Santiago, Concepción et Chiloé.
Malheureusement, à la fin des manifestations, il y a eu de forts épisodes de répression dans les différentes manifestations. Des allégations de violences politiques sexuelles exercées par les carabiniers (police) à l’encontre de plusieurs manifestantes arrêtées dans le cadre de la marche de Santiago et de Concepción font état de persécutions à l’encontre des manifestantes après la journée de mobilisation.
Pour cette raison, le vendredi 12 mars, les diverses organisations féministes ont lancé un appel à faire du bruit avec des casseroles pour dénoncer cette pratique de violence politique sexuelle que la police chilienne exerce contre nous, les femmes et les dissidences sexuelles qui protestent contre les abus et les oppressions de ce système capitaliste, patriarcal, raciste et colonial.
Ils nous veulent calmes et soumises... Nous continuerons à crier avec plus de force et de conviction que nous Continuerons en Marche jusqu’à ce que tous et toutes soyons libres !
Depuis le matin, des manifestations dans les rues ont commencé dans les différents territoires du pays, des barrages routiers, des rassemblements ont eu lieu simultanément tout au long de la journée et, bien que, en raison du contexte, la participation ait été plus faible que les années précédentes, rien qu’à Santiago, environ un demi-million de femmes sont descendues dans la rue. Une centaine de manifestations ont été recensées sur le reste du territoire national. Notre présence en tant que MMM-Chili s’est concentrée à Santiago, Concepción et Chiloé.
Malheureusement, à la fin des manifestations, il y a eu de forts épisodes de répression dans les différentes manifestations. Des allégations de violences politiques sexuelles exercées par les carabiniers (police) à l’encontre de plusieurs manifestantes arrêtées dans le cadre de la marche de Santiago et de Concepción font état de persécutions à l’encontre des manifestantes après la journée de mobilisation.
Pour cette raison, le vendredi 12 mars, les diverses organisations féministes ont lancé un appel à faire du bruit avec des casseroles pour dénoncer cette pratique de violence politique sexuelle que la police chilienne exerce contre nous, les femmes et les dissidences sexuelles qui protestent contre les abus et les oppressions de ce système capitaliste, patriarcal, raciste et colonial.
Ils nous veulent calmes et soumises... Nous continuerons à crier avec plus de force et de conviction que nous Continuerons en Marche jusqu’à ce que tous et toutes soyons libres !
¡Resistimos para vivir, marchamos para transformar!
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